Derrière la main courante revient avec quatrième épisode exceptionnel avec notre premier joueur pro comme invité : Alexy Bosetti !
Aujourd’hui du côté d’Annecy, l’attaquant aux 89 apparitions avec son club de coeur de l’OGC Nice s’est confié sans filtre. Il nous parle de sa passion pour son club vécue aussi bien sur les terrains que dans les tribunes. Il nous raconte aussi la suite de sa carrière entre ses expériences en National, en Norvège et aux Etats-Unis.
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Voici quelques morceaux choisis…
Son premier souvenir de football
« Vers 8-10 ans, les derbys avec Cavigal contre Nice. On se mettait déjà des tacles. J’ai fait une simulation à la dernière minute. J’ai marqué le penalty, ils étaient en feu. En plus le gardien de Nice était dans ma classe. Le lendemain à l’école il a pleuré toute la journée. »
Son premier souvenir de stade
« En 2002, l’année de la montée. Je me souviens du match de la montée contre Istres, il y a eu un envahissement de terrain, je me suis retrouvé sur la pelouse avec mon père. »
Le stade qui t’as le plus impressionné
« Franchement je suis allé en Algérie avec Nice c’était incroyable ! On a joué un match amical avec Nice à Constantine… c’était abusé ! »
Sa vie d’ultra
« Quand je rentre dans la tribune je ne suis plus un joueur de foot. Je suis avec mes collègues et c’est tout. »
Après son départ de Nice
« J’avais plus le truc. Pour moi Nice c’était le summum. »
Son passage en Norvège
« On a eu un weekend de 5 jours. J’ai dit à ma femme « si on retourne à Nice, je ne reviens pas ». »
Sa vie aux Etats-Unis
« Au niveau logistique, infrastructures… c’était niveau Ligue 1. »
Son regard sur sa carrière
« Je préfère être où je suis plutôt que dans un club de L1 où j’aurais pas envie d’être. Je suis très bien à Annecy. »
